La Journée du chandail rose, célébrée le 28 février, vise notamment à sensibiliser aux impacts de l’intimidation. Pour des personnes membres des communautés LGBTQ+, qui vivent avec une montée de l’homophobie et de la transphobie, la journée vient à point cette année.
Charlie étudie au Collège de Maisonneuve en sciences informatiques et mathématiques. Ielle est une personne trans et non-binaire et a amorcé sa transition alors qu’ielle était en quatrième secondaire. Bien qu’ielle ait aujourd’hui 17 ans et qu’ielle fréquente le cégep, Charlie explique que les épisodes d’intimidation demeurent fréquents.
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«Moi, quant à mon intimidation, à la discrimination, ça a plus été fait sur l’homophobie, parce que j’ai une partenaire. On a tout entendu», raconte Charlie.
Dans leur cas, l’intimidation est d’ailleurs pernicieuse et tombe davantage dans la moquerie que l’agressivité.
«Les gens vont venir nous poser des questions désagréables pour faire rire leur groupe d’amis.»
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