Photo : Clarisse Noutchemi avec le député et ancien chef néo-démocrate Thomas Mulcair. «Dès qu’elle est venue nous voir, on a su qu’il fallait l’aider. C’était une question de vie humaine», explique le député d’Outremont. Source : Vincent Larin | Agence QMI À quelques heures de son expulsion au Cameroun, où elle risquait sa vie en raison de son homosexualité, une réfugiée a appris qu’elle pourrait rester six mois de plus au Canada pour y déposer une nouvelle demande de résidence. «C’est le plus beau jour de ma vie», lance Clarisse Noutchemi Lah, 42 ans, des trémolos dans la voix. Une heure plus tôt, la femme rentrait chez elle pour faire ses bagages en prévision de son expulsion vers son pays d’origine, le Cameroun, où elle risque sa vie à cause de son homosexualité. Encore l’an dernier, les personnes homosexuelles étaient toujours victimes de discrimination, de manœuvres d’intimidation, de harcèlement et de violences dans ce pays d’Afrique centrale, selon l’organisme Amnistie internationale. Lire la suite sur tvanouvelles
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