Au Gabon, les discussions à huis clos autour du Dialogue national inclusif auraient abordé de manière houleuse la question de l’orientation sexuelle.
Au Ghana, la Haute Cour refuse de forcer le président à promulguer la loi anti-LGBT votée par le parlement en février.
En Irak, une nouvelle loi vise à criminaliser les relations homosexuelles et les transitions de genre et pourrait valoir jusqu’à 15 ans de prison. L’ONU s’est dite alarmée par la situation.
Au Madagascar, un reportage souligne comment la communauté LGBT est encore stigmatisée.
Au Maroc, deux personnes auraient été assassinées à Kenitra en raison de leur homosexualité présumée. Des groupes profitent de la réforme du Code pénal pour lancer une pétition pour l’abolition de l’article 489 du Code criminel.
En Mauritanie, deux personnes auraient été arrêtées pour un présumé mariage entre personnes de même sexe.
En Ouganda, la Cour constitutionnelle du pays confirme malheureusement la loi anti-LGBTQI.
En République démocratique du Congo, un parti d’opposition dépose un projet de loi visant à punir l’homosexualité de 5 à 10 ans de prison.
Au Rwanda, un·e coutirièr·e non-binaire célèbre la façon dont iel a pu rebondir après son arrestation pour avoir parlé publiquement de son désir de changer de genre sur ses papiers d’identité.
Au Sénégal, un youtubeur a été tabassé pour avoir défendu les droits des personnes LGBTQI. Deux hommes auraient également été arrêtés à Gorée pour avoir été surpris en plein ébat. Des groupes anti-LGBT tentent de s’opposer à la venue d’une chef de mission d’observation électorale de l’Union européenne parce que celle-ci a été liée à l’intergroupe LGBTI du Parlement européen.
En Tunisie, des brochures sur la sexualité (et traitant entre autres d’homosexualité) produite par une agence de l’ONU ont été retirées de la Foire internationale du livre à la demande des organisateurs.
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