En France, l’Assemblée nationale a adopté une loi visant à contrer les thérapies de conversion, tandis que l’Académie de Toulouse a annoncé la création d’un observatoire académique pour lutter contre l’homophobie en milieu scolaire. Des manifestations ont également lieu, notamment une marche pour les droits des personnes trans s’est organisée à Paris en soutien de deux femmes trans mortes en septembre, ainsi que plusieurs démonstrations de soutien à la mémoire de Dinah, une adolescente victime de racisme et d’homophobie qui s’est suicidée au début octobre.
En Italie, c’est la déception après que le Sénat eu refusé d’adopter une loi contre l’homophobie.
Les Pays-Bas ont annoncé que les héritiers royaux LGBTQI pourront accéder aux trônes s’ils désirent se marier avec des personnes de même sexe.
En Pologne, le Parlement veut étudier une loi visant à empêcher les marches des Fiertés dans le pays, un peu à l’image des lois votées en Hongrie et en Russie sur contre les représentations LGBTQI dans l’espace public.
La Russie a rejeté les recommandations du Conseil de l’Europe qui lui demandait d’abolir sa législation contre la « propagande gaie ».
En Turquie, les 18 étudiant.e.s arrêté.e.s en 2019 pour avoir participé à une marche des fiertés et qui risquaient 3 ans de prison ne seront pas poursuivi.e.s.
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