Le 22 janvier Têtu écrivait ...

Sur Twitter, des centaines d'internautes témoignent des agressions et violences sexuelles qu'ils ont subies sous le hashtag #MeTooGay. Une libération de la parole attendue depuis longtemps.

Depuis jeudi 21 janvier, la parole se libère sur les violences sexuelles dans la communauté gay. Après qu'un internaute a accusé de viol et d'agression sexuelle l'élu parisien Maxime Cochard et son conjoint, Twitter a vu émerger le hashtag #MeTooGay - toujours très haut dans les tendances du réseau social - grâce auquel les internautes témoignent les agressions et violences sexuelles qu'ils ont subies.

 https://twitter.com/hashtag/MeTooGay

Le 22 janvier également, le 20minutes.fr publie...

Pourquoi le #MeTooGay n'explose-t-il que maintenant ?

VIOLENCES SEXUELLES

Plus de trois ans après Me Too, une libération de la parole s’opère dans la communauté gay en France depuis ce jeudi. Pourquoi cet écart de temps ?

Aujourd'hui, 25 janvier, lemonde.fr titre...

#metoogay, son hashtag et ses témoignages, s’inscrivent dans un continuum de la libération de la parole

Depuis 2017 et le point d’impact #metoo, les soubresauts ne se répètent et s’accélérent. A chaque fois, livres de témoignages ou tweets semblent se nourrir. Comme si ce n’était pas tant la parole qui se libérait, mais l’écoute qui se faisait plus attentive.

Rappelons qu'au Québec, c'est en février 2019 que RÉZO lançait sa campagne Le consentement entre hommes? Oui.

Dans la foulée de #moiaussi, cette campagne, élaborée de concert avec l’agence Upperkut, cherche à délier les langues sur le sujet du consentement sexuel chez les hommes GBT.