Par Tv5 unis en date du 19 février 2024 à 20h57
Lennikim tient le rôle principal de la série FEM. Photo UnisTV.https://www.tv5unis.ca/fem/saisons/1
En portant à l’écran l’histoire d’un adolescent explorant son identité de genre à travers la musique, la réalisatrice Marianne Farley a un objectif bien précis en tête: ouvrir les mentalités et effriter les préjugés. «Il faut arrêter d’avoir peur de la différence», plaide-t-elle.
Les tabous entourant la non-binarité – le fait de ne pas se reconnaître strictement homme ou strictement femme – sont tenaces, au même titre que ceux qui se rapportent à la transidentité. La solution pour les déconstruire? Une meilleure représentation de ces personnes et des enjeux humains auxquels elles sont confrontées. Ceux-ci sont donc placés au cœur de la série FEM, nouveau projet de Marianne Farley.
Lire la suite de l'article de Bruno Lapointe sur le Journal de Montréal
« Avant tout, FEM raconte l’histoire d’un adolescent qui a le goût de percer dans la musique », explique Maxime Beauchamp, créateur et coscénariste de cette nouvelle série de fiction originale d’Unis TV. Cet adolescent est Zav. Celui-ci découvre et affirme son identité — plurielle — grâce à la musique alors qu’il prépare une audition au Conservatoire depuis son village franco-ontarien de Lanark. « Le sujet principal n’est pas seulement la transidentité, mais s’il veut être vulnérable dans sa musique, il va falloir qu’il soit vulnérable dans sa vie personnelle », ajoute le cinéaste, lui aussi Franco-Ontarien. Pour lui, l’objectif de FEM est de continuer à montrer que le genre est un spectre. « Zav cherche à savoir où elle se situe sur ce spectre-là », dit-il. Il ou elle, alors ? Lorsque Maxime Beauchamp parle de Zav en entrevue, il tient absolument à alterner les pronoms.
Lire la suite de l'article d'Amélie Revert sur ledevoir.com
Avant de se glisser dans la peau de Zav, LenniKim s’est préparé afin de représenter la communauté trans et en questionnement le mieux possible. «Premièrement, j’ai eu plusieurs discussions avec le showrunner de la série, Maxime Beauchamp, ainsi que la réalisatrice Marianne Farley pour bien comprendre la psychologie du personnage, expliquait LenniKim lors du tournage de la série l’an dernier. «J’en ai discuté aussi avec des ami(e)s de la communauté trans. »
Lire l'article de Charles Gagné sur fugues.com.
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